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Dieu est ma force
17 avril 2018

2. Qu’est-ce que l’incarnation ? Quelle est la substance de l’incarnation ?

    Référence biblique :

    « Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père » (Jean 1:14).

    « Je suis le chemin, la vérité, et la vie… » (Jean 14:6).

    « Jésus lui dit: Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père ; comment dis-tu: Montre-nous le Père ? Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même ; et le Père qui demeure en moi, c’est lui qui fait les oeuvres. Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi ; croyez du moins à cause de ces oeuvres » (Jean 14:9-11).

    « Moi et le Père nous sommes un » (Jean 10:30).

    Paroles de Dieu concernées :

    Le sens de l’incarnation est que Dieu apparaît dans la chair, et qu’Il vient travailler parmi les hommes de Sa création revêtu de chair. Ainsi, pour que Dieu soit incarné, Il doit d’abord être fait de chair, d’une chair avec une humanité normale ; ceci, tout au moins, doit être vrai. En fait, l’implication de l’incarnation de Dieu est que Dieu vit dans la chair et œuvre dans la chair, Dieu dans Son essence même devient chair, devient un homme.

    Extrait de « L’essence de la chair habitée par Dieu », La Parole apparaît dans la chair

    Le Christ avec l’humanité normale est une chair dans laquelle l’Esprit Se réalise, possédant l’humanité normale, la raison normale et la pensée humaine. « Être réalisé » signifie que Dieu devient homme, l’Esprit devient chair ; pour le dire clairement, c’est quand Dieu Lui-même habite une chair avec une humanité normale, et par la chair de l’humanité normale exprime Son œuvre divine — c’est ce que signifie être réalisé, et qui signifie aussi être incarné.

    Extrait de « L’essence de la chair habitée par Dieu », La Parole apparaît dans la chair

    Dieu S’est fait chair et est appelé le Christ, et ainsi le Christ qui peut donner la vérité aux peuples est appelé Dieu. Il n’y a rien d’excessif à ce sujet, car Il possède l’essence de Dieu, et possède le tempérament et la sagesse de Dieu dans Son œuvre, qui sont inaccessibles par l’homme. Ceux qui se font appeler Christ, mais ne peuvent pas faire le travail de Dieu, sont des imposteurs. Christ n’est pas seulement la manifestation de Dieu sur la terre, mais plutôt, la chair particulière assumée par Dieu pendant qu’Il réalise et accomplit Son œuvre parmi les hommes. Cette chair ne saurait être remplacée par un homme quelconque, mais c’est laquelle qui peut conduire convenablement le travail de Dieu sur la terre, et exprimer le tempérament de Dieu, et bien représenter Dieu, et donner la vie à l’homme .

    Extrait de « Seul le Christ des derniers jours peut montrer à l’homme le chemin de la vie éternelle », La Parole apparaît dans la chair

    Parce qu’Il est un homme qui possède l’essence de Dieu, donc, Il est au-dessus de tout humain créé, au-dessus de tout homme qui peut accomplir l’œuvre de Dieu. Et ainsi, parmi tous ceux qui ont une enveloppe humaine comme la Sienne, parmi tous ceux qui possèdent l’humanité, c’est seulement Lui qui est le Dieu incarné Lui-même — tous les autres sont des êtres humains créés. Bien qu’ils aient tous l’humanité, les êtres humains créés ne sont rien d’autre que des hommes, tandis que le Dieu incarné est différent : dans Sa chair, non seulement Il a l’humanité, mais surtout, Sa divinité. Son humanité peut être vue par l’apparence extérieure de Sa chair et dans Sa vie quotidienne, mais Sa divinité est difficile à percevoir. Parce que Sa divinité est exprimée seulement quand il a l’humanité, et n’est pas aussi surnaturelle que les gens l’imaginent, il est extrêmement difficile pour les gens de la voir. […] Puisque Dieu devient chair, Son essence est une combinaison d’humanité et de divinité. Cette combinaison est appelée Dieu Lui-même, Dieu Lui-même sur la terre.

    Extrait de « L’essence de la chair habitée par Dieu », La Parole apparaît dans la chair

    Sa vie incarnée et Son œuvre peuvent être divisées en deux étapes. La première est la vie qu’Il a vécue avant d’accomplir Son ministère. Il a vécu dans une famille humaine ordinaire, dans une humanité tout à fait normale, obéissant aux mœurs et aux lois normales de la vie humaine, ayant des besoins humains normaux (nourriture, vêtements, abri, sommeil), des faiblesses humaines normales et des émotions humaines normales. En d’autres termes, durant cette première étape, Il a vécu dans une humanité non divine, complètement normale, S’engageant dans toutes les activités humaines normales. La deuxième étape est la vie qu’Il a vécue après avoir commencé à accomplir Son ministère. Il demeure encore dans l’humanité ordinaire avec une chair humaine normale, ne montrant aucun signe extérieur du surnaturel. Pourtant, Il vit purement pour Son ministère, et pendant cette période, Son humanité normale existe entièrement au service de l’œuvre normale de Sa divinité ; car à ce moment Son humanité normale a mûri au point d’être en mesure d’accomplir Son ministère. Ainsi, la deuxième étape de Sa vie consiste à accomplir Son ministère dans Son humanité normale, c’est une vie faite à la fois de l’humanité normale et de la divinité totale. La raison pour laquelle, dans la première étape de Sa vie, Il a vécu dans une humanité tout à fait ordinaire, est que Son humanité n’est pas encore égale à l’ensemble de l’œuvre divine, n’est pas encore mature ; ce n’est qu’après que Son humanité ait grandi, qu’elle soit devenue capable d’assumer Son ministère, qu’Il a pu accomplir Son ministère. Puisque Lui, en tant que chair, avait besoin de grandir et de mûrir, la première étape de Sa vie était celle de l’humanité normale, tandis que dans la deuxième étape, parce que Son humanité était capable d’entreprendre Son œuvre et d’accomplir Son ministère, la vie que le Dieu incarné a vécue pendant Son ministère a été une vie d’humanité et de divinité complète. Si, dès Sa naissance, le Dieu incarné avait commencé sérieusement Son ministère, faisant des signes et des prodiges surnaturels, alors il n’aurait eu aucune essence corporelle. Par conséquent, Son humanité a existé pour Son essence corporelle ; Il ne peut y avoir de chair sans humanité, et une personne sans humanité n’est pas un être humain. De cette manière, l’humanité de la chair de Dieu est une propriété intrinsèque de la chair incarnée de Dieu. Dire que « quand Dieu devient chair, Il est entièrement divin, Il n’est pas du tout humain », est un blasphème, parce que c’est une position impossible à prendre, qui viole le principe de l’incarnation. Même après qu’Il ait commencé à accomplir Son ministère, Sa divinité a toujours habité l’enveloppe extérieure humaine quand Il faisait Son travail ; c’est juste qu’à l’époque, Son humanité avait pour seul but de permettre à Sa divinité d’accomplir l’œuvre dans la chair normale. L’agent de l’œuvre est donc la divinité qui habite Son humanité. C’est Sa divinité, et non Son humanité, qui travaille, mais c’est une divinité cachée dans Son humanité ; Son œuvre est essentiellement accomplie par Sa divinité complète, et non par Son humanité. Mais c’est Sa chair qui est chargée de réaliser Son œuvre. On pourrait dire qu’Il est à la fois un homme et un Dieu, car Dieu devient un Dieu vivant dans la chair, avec une enveloppe humaine et une essence humaine, mais aussi l’essence de Dieu.

    Extrait de « L’essence de la chair habitée par Dieu », La Parole apparaît dans la chair

    La vie que Jésus a vécue sur la terre était une vie normale de la chair. Il a vécu dans l’humanité normale de Sa chair. Son autorité — faire l’œuvre de Dieu et dire la Parole de Dieu, ou guérir les malades et chasser les démons, faire de telles choses extraordinaires — ne s’est pas manifestée toute seule, pour la plupart, jusqu’à ce qu’Il ait commencé Son ministère. Sa vie avant l’âge de vingt-neuf ans, avant qu’Il n’accomplisse Son ministère, était la preuve suffisante qu’Il était juste une personne normale. À cause de cela, et parce qu’Il n’avait pas encore commencé à accomplir Son ministère, les gens ne voyaient rien de divin en Lui, ne voyaient rien d’autre qu’un être humain normal, un homme ordinaire — comme d’abord certains le croyaient être le fils de Joseph. Les gens pensaient qu’Il était le fils d’un homme ordinaire, ils ne pouvaient pas dire qu’Il était la chair incarnée de Dieu ; même quand, au cours de l’accomplissement de Son ministère, Il a fait beaucoup de miracles, la plupart des gens disaient toujours qu’Il était le fils de Joseph, car Il était le Christ avec l’enveloppe extérieure de l’humanité normale. Son humanité normale et Son œuvre existaient toutes deux pour matérialiser le sens de la première incarnation, prouvant que Dieu était entièrement entré dans la chair, devenu un homme tout à fait ordinaire. Qu’Il ait une humanité normale avant de commencer Son œuvre était la preuve qu’Il était une chair ordinaire ; et qu’Il ait travaillé ensuite a prouvé aussi qu’Il était une chair ordinaire, car Il a accompli des signes et des prodiges, guéri les malades et chassé les démons dans la chair avec une humanité normale. La raison pour laquelle Il pouvait faire des miracles était que Sa chair portait l’autorité de Dieu, c’était la chair dans laquelle l’Esprit de Dieu était revêtu. Il possédait cette autorité grâce à l’Esprit de Dieu, et cela ne signifiait pas qu’Il n’était pas une chair. Guérir les malades et chasser les démons était l’œuvre qu’Il devait accomplir dans Son ministère, une expression de Sa divinité cachée dans Son humanité, et peu importe les signes qu’Il a montrés ou comment Il a démontré Son autorité, Il a encore vécu dans l’humanité normale et était encore une chair normale. Jusqu’à ce qu’Il soit ressuscité après être mort sur la croix, Il a habité dans une chair normale. Accorder les grâces, guérir les malades et chasser les démons faisaient partie de Son ministère, c’était là le travail qu’il accomplissait dans Sa chair normale. Avant d’aller à la croix, Il n’a jamais quitté Sa chair humaine normale, indépendamment de ce qu’Il faisait. Il était Dieu Lui-même, faisant la propre œuvre de Dieu, mais parce qu’Il était la chair incarnée de Dieu, Il mangeait de la nourriture et portait des vêtements, avait des besoins humains normaux, avait une raison humaine normale et un esprit humain normal. Tout cela était la preuve qu’Il était un homme normal, qui prouvait que la chair incarnée de Dieu était une chair avec une humanité normale, et non un être surnaturel.

    Extrait de « L’essence de la chair habitée par Dieu », La Parole apparaît dans la chair

    L’humanité de Dieu incarné existe pour maintenir l’œuvre divine normale dans la chair ; Sa pensée humaine normale soutient Son humanité normale et toutes Ses activités corporelles normales. On pourrait dire que Sa pensée humaine normale existe afin de soutenir toute l’œuvre de Dieu dans la chair. Si cette chair n’avait pas un esprit humain normal, alors Dieu ne pourrait pas travailler dans la chair, et ce qu’Il devait faire dans la chair ne pourrait jamais être accompli. Bien que le Dieu incarné possède un esprit humain normal, Son œuvre n’est pas frelatée par la pensée humaine ; Il entreprend le travail dans l’humanité avec un esprit normal, sous la condition préalable qu’Il possède l’humanité avec un esprit, non par l’exercice de la pensée humaine normale. Quelle que soit la hauteur des pensées de Sa chair, Son œuvre ne porte pas le sceau de la logique ou de la pensée. En d’autres termes, Son œuvre n’est pas conçue par l’esprit de Sa chair, mais elle est une expression directe de l’œuvre divine dans Son humanité. Toute Son œuvre est le ministère qu’Il a besoin d’accomplir, et rien de Lui n’est conçu par Son cerveau. Par exemple, guérir les malades, chasser les démons et la crucifixion n’étaient pas des produits de Son esprit humain, Il n’aurait pu être réalisés par aucun homme avec un esprit humain. De même, l’œuvre de conquête d’aujourd’hui est un ministère qui doit être accompli par le Dieu incarné, mais ce n’est pas l’œuvre d’une volonté humaine, c’est l’œuvre que doit faire Sa divinité, œuvre dont aucun humain charnel n’est capable. Donc, le Dieu incarné doit posséder un esprit humain normal, doit posséder une humanité normale, parce qu’Il doit accomplir Son travail dans l’humanité avec un esprit normal. C’est l’essence de l’œuvre du Dieu incarné, l’essence même du Dieu incarné.

    Extrait de « L’essence de la chair habitée par Dieu », La Parole apparaît dans la chair

  Le Fils de l’homme incarné exprimait la divinité de Dieu par le biais de Son humanité et transmettait la volonté de Dieu au genre humain. Et par l’expression de la volonté de Dieu et de Son tempérament, Il révéla aussi aux gens le Dieu qui ne peut pas être vu ou touché dans le domaine spirituel. Ce que les gens ont vu est Dieu Lui-même, tangible, avec de la chair et des os. Ainsi le Fils de l’homme incarné fit de la propre identité de Dieu, de Son statut, de Son image, de Son tempérament et de ce qu’Il a et est des choses concrètes et humanisées. Même si l’apparence extérieure du Fils de l’homme avait quelques limitations au regard de l’image de Dieu, Son essence et ce qu’Il a et est étaient tout à fait capables de représenter l’identité propre de Dieu et Son statut. Il y avait seulement quelques différences dans la forme de l’expression. Peu importe s’il s’agissait de l’humanité du Fils de l’homme ou de Sa divinité, nous ne pouvons pas nier qu’Il représentait l’identité propre de Dieu et Son statut. Pendant ce temps, toutefois, Dieu travaillait par la chair, parlait du point de vue de la chair et se tenait face au genre humain avec l’identité et le statut du Fils de l’homme ; cela donnait aux gens l’opportunité de rencontrer et de vivre les vraies paroles et l’œuvre véritable de Dieu parmi les hommes. Cela permettait aussi aux gens d’acquérir une idée de Sa divinité et de Sa grandeur en toute humilité, ainsi que d’obtenir une compréhension préliminaire et une définition préliminaire de l’authenticité et de la réalité de Dieu.

    Extrait de « L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même III », La Parole apparaît dans la chair

    Bien que l’apparence de Dieu incarné soit exactement la même que celle d’un homme, qu’Il apprenne le savoir humain et parle le langage des hommes, parfois qu’Il exprime même Ses idées d’une façon humaine ou avec des expressions humaines, la manière dont Il voit les hommes et l’essence des choses et la manière dont les hommes corrompus voient l’humanité et l’essence des choses ne sont absolument pas les mêmes. Son point de vue et la hauteur à laquelle Il se trouve sont inaccessibles à une personne corrompue. C’est parce que Dieu est vérité, la chair dont Il se vêt contient l’essence de Dieu, et Ses pensées et ce qui est exprimé par Son humanité sont aussi la vérité. […] Peu importe à quel point Dieu incarné dans la chair est ordinaire, normal et humble, ou même dans quelle mesure les gens Le méprisent, Ses pensées et Son attitude envers les hommes sont des aspects qu’aucun homme ne pouvait posséder et ne pouvait imiter. Il observera toujours l’humanité depuis un point de vue divin, depuis le haut de Sa position comme Créateur. Il regardera toujours les hommes depuis l’essence et l’état d’esprit de Dieu. Il ne peut absolument pas voir l’humanité depuis la hauteur d’une personne ordinaire et depuis la perspective d’un individu corrompu. Quand les gens regardent l’humanité, ils regardent avec une vision humaine et ils utilisent des choses comme la connaissance humaine, les règles et les théories humaines comme mesure. Cela est dans le cadre de ce que les gens peuvent voir de leurs yeux ; c’est dans le cadre de ce que les gens corrompus peuvent atteindre. Quand Dieu regarde l’humanité, Il regarde avec une vision divine et Il utilise Son essence et ce qu’Il a et est comme mesure. Ce cadre comprend des choses que les gens ne peuvent pas voir et c’est en cela que Dieu incarné et les humains corrompus sont entièrement différents. Cela provient de la différence entre l’essence de Dieu et celle des humains et c’est cette essence qui définit leur identité et leur position ainsi que le point de vue et la hauteur depuis lesquels ils voient les choses

    Extrait de « L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même III », La Parole apparaît dans la chair

    Son œuvre et Ses déclarations représentent directement l’Esprit, l’œuvre qu’Il accomplit est réalisée par l’Esprit et les paroles qu’Il dit sont dites par l’Esprit. Ces choses sont simplement exprimées par la chair incarnée de Dieu ; en réalité, elles sont l’expression de l’Esprit. L’œuvre qu’Il accomplit et les paroles qu’Il dit représentent Son essence.

    Extrait de « Pratique (7) », La Parole apparaît dans la chair

    La chair revêtue par l’Esprit de Dieu est la propre chair de Dieu. L’Esprit de Dieu est suprême, l’Esprit de Dieu est tout-puissant, Il est saint et juste, par conséquent, Sa chair est également suprême, et également toute-puissante, sainte et juste. Une telle chair est seulement capable de faire ce qui est juste et bénéfique pour l’humanité, ce qui est saint, glorieux et puissant, et est incapable de faire quelque chose qui viole la vérité, la moralité et la justice, encore moins de trahir l’Esprit de Dieu.

    Extrait de « Un problème très sérieux : la trahison (2) », La Parole apparaît dans la chair

    Le Dieu incarné S’appelle le Christ, et le Christ est la chair que revêt l’Esprit de Dieu. Cette chair ne ressemble à aucun homme qui est fait de chair. Cette différence tient au fait que le Christ n’est pas de chair et de sang, mais Il est l’incarnation de l’Esprit. Il possède à la fois une humanité normale et une divinité complète. Sa divinité n’est possédée par aucun homme. Son humanité normale sustente toutes Ses activités normales dans la chair, tandis que Sa divinité réalise l’œuvre de Dieu Lui-même. Que ce soit Son humanité ou Sa divinité, toutes deux sont soumises à la volonté du Père céleste. L’essence du Christ est l’Esprit, c’est-à-dire, la divinité. Par conséquent, Son essence est celle de Dieu Lui-même ; cette essence ne va pas interrompre Sa propre œuvre, et Il ne pourrait pas faire quelque chose qui détruise Sa propre œuvre, de même qu’Il ne va jamais prononcer des mots qui vont contre Sa propre volonté. Par conséquent, le Dieu incarné ne pourrait jamais absolument faire une œuvre qui interrompt Sa propre gestion. Voici ce que tout homme doit comprendre. L’essence de l’œuvre du Saint-Esprit est de sauver l’homme et ceci pour le bien de la gestion propre de Dieu. De même, l’œuvre du Christ est de sauver l’homme et pour satisfaire à la volonté de Dieu. Étant donné que Dieu Se fait chair, Il réalise Son essence dans Sa chair, de telle sorte que Sa chair est à même d’accomplir Son œuvre. Par conséquent, toute l’œuvre de l’Esprit de Dieu est remplacée par l’œuvre du Christ pendant le temps de l’incarnation, et au cœur de toute l’œuvre qui se fait pendant toute la durée de l’incarnation se trouve l’œuvre du Christ. Il ne peut pas être mélangé avec l’œuvre d’une autre ère. Et puisque Dieu Se fait chair, Il travaille dans l’identité de Sa chair ; comme Il vient dans la chair, Il achève ensuite dans la chair l’œuvre qu’Il doit faire. Que ce soit l’Esprit de Dieu ou le Christ, les deux sont Dieu Lui-même, et Il fait l’œuvre qu’Il doit faire et accomplit le ministère qu’Il doit accomplir.

    L’essence de Dieu elle-même exerce l’autorité, mais Il est capable de Se soumettre pleinement à l’autorité qui vient de Lui. Que ce soit l’œuvre de l’Esprit ou l’œuvre de la chair, il n’y a pas d’interférence entre les deux. L’Esprit de Dieu a l’autorité sur toute la création. La chair avec l’essence de Dieu est également soumise à l’autorité, mais Dieu dans la chair peut faire toute l’œuvre qui obéit à la volonté du Père céleste. Cela ne peut pas être réalisé ou conçu par un homme. Dieu Lui-même est l’autorité, mais Sa chair peut Se soumettre à Son autorité. Telle est le sens profond des mots : « Christ obéit à la volonté de Dieu le Père ». Dieu est un Esprit et peut accomplir le travail de salut, de même que Dieu peut devenir homme. Quoi qu’il en soit, Dieu Lui-même fait Sa propre œuvre ; Il n’interrompt pas et ne Se mêle pas, Il accomplit encore moins une œuvre mutuellement contradictoire, car l’essence de l’œuvre accompli par l’Esprit et la chair est la même. Que ce soit l’Esprit ou la chair, les deux travaillent à satisfaire une même volonté et à gérer la même œuvre. Bien que l’Esprit et la chair aient deux qualités disparates, leurs essences sont les mêmes ; les deux ont l’essence de Dieu Lui-même, et l’identité de Dieu Lui-même. Dieu Lui-même n’a aucun élément de désobéissance ; Son essence est bonne. Il est l’expression de toute beauté et de toute bonté, ainsi que de tout amour. Même dans la chair, Dieu ne fait rien qui désobéit à Dieu le Père. Même s’il faut aller jusqu’à sacrifier Sa vie, Il serait de tout cœur disposé et ne fera pas d’autre choix. Dieu n’a aucune disposition à Se rendre justice à Lui-même ou à Se donner de l’importance à Lui-même, ou celle de vanité et d’arrogance ; Il n’est pas disposé à la malhonnêteté. Tout ce qui désobéit à Dieu provient de Satan ; Satan est la source de tout ce qu’il y a de laid et de méchant. La raison pour laquelle l’homme a des qualités semblables à celles de Satan tient au fait que l’homme a été corrompu et moulé par Satan. Le Christ n’a pas été corrompu par Satan, par conséquent, Il n’a que les caractéristiques de Dieu et aucune de Satan. Que le travail soit ardu ou que la chair soit faible, Dieu, pendant qu’Il vit dans la chair, ne fera jamais rien qui interrompe l’œuvre de Dieu Lui-même, encore moins qui abandonne la volonté de Dieu le Père dans la désobéissance. Il va plutôt endurer les souffrances de la chair que d’aller contre la volonté de Dieu le Père ; c’est exactement ce que Jésus disait en priant : « Mon Père, s’il est possible, que cette coupe s’éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. » L’homme va choisir, mais Jésus ne le fera pas. Bien qu’Il ait l’identité de Dieu Lui-même, Il cherche toujours la volonté de Dieu le Père, et accomplit ce qui Lui a été confié comme mission par Dieu le Père, dans la perspective de la chair. Ceci est quelque chose d’inaccessible à l’homme. Ce qui vient de Satan ne peut pas avoir l’essence de Dieu, mais seulement ce qui désobéit et résiste à Dieu. Il ne peut pas obéir totalement à Dieu, encore être disposé à faire selon la volonté de Dieu. Tout homme, en dehors du Christ, peut faire ce qui résiste à Dieu, et pas un seul ne peut directement effectuer l’œuvre confiée par Dieu ; pas un seul n’est en mesure de considérer la gestion de Dieu comme son propre devoir à remplir. Se soumettre à la volonté de Dieu le Père est l’essence du Christ ; la désobéissance à Dieu est la caractéristique de Satan. Ces deux qualités sont incompatibles, et quiconque possède les qualités de Satan ne peut pas être appelé le Christ. La raison pour laquelle l’homme ne peut pas faire l’œuvre de Dieu à Sa place tient au fait que l’homme n’a pas l’essence de Dieu. L’homme travaille pour Dieu pour ses intérêts personnels et pour ses perspectives d’avenir, mais le Christ travaille pour accomplir la volonté de Dieu le Père.

    L’humanité du Christ est régie par Sa divinité. Bien qu’Il soit dans la chair, Son humanité n’est pas tout à fait comme celle d’un homme fait de chair. Il a Son propre caractère unique, et celui-là aussi est régi par Sa divinité. Sa divinité n’a pas de faiblesse ; la faiblesse du Christ renvoie à celle de Son humanité. Dans une certaine mesure, cette faiblesse limite Sa divinité, mais ce genre de limites s’inscrivent dans un certain champ d’actions et dans le temps, et ne sont pas sans limites. Lorsqu’arrive le temps d’effectuer le travail de Sa divinité, il s’accomplit indépendamment de Son humanité. L’humanité du Christ est entièrement dirigée par Sa divinité. En dehors de la vie normale de Son humanité, toutes les autres actions de Son humanité sont influencées, affectées et dirigées par Sa divinité. Bien que le Christ ait une humanité, elle ne perturbe pas le travail de Sa divinité. C’est précisément parce que l’humanité du Christ est dirigée par Sa divinité ; bien que Son humanité ne soit pas mature dans Sa conduite devant les autres, elle n’a aucune incidence sur le travail normal de Sa divinité. Quand Je dis que Son humanité n’a pas été corrompue, Je veux dire que l’humanité du Christ peut être directement dirigée par Sa divinité, et qu’il possède une raison plus élevée que celle de l’homme ordinaire. Son humanité s’adapte le mieux à être dirigée par la divinité dans Son œuvre ; Son humanité est la plus apte à exprimer l’œuvre de la divinité, de même qu’elle est la plus apte à se soumettre à une telle œuvre. Pendant que Dieu travaille dans la chair, Il ne perd jamais de vue le devoir que l’homme dans la chair doit remplir ; Il est capable d’adorer Dieu du ciel avec un cœur sincère. Il a l’essence de Dieu, et Son identité est celle de Dieu Lui-même. C’est seulement qu’Il est venu sur terre et qu’Il est devenu un être créé, avec l’enveloppe extérieure d’un être créé, et possède dès lors une humanité qu’Il n’avait pas avant ; Il est capable d’adorer Dieu du ciel. Ceci est l’être de Dieu Lui-même et il est inimitable par l’homme. Son identité est celle de Dieu Lui-même. C’est du point de vue de la chair qu’Il adore Dieu ; par conséquent, les paroles « Christ adore Dieu dans le ciel » ne sont pas erronées. Ce qu’Il demande à l’homme c’est précisément Son propre être ; Il possède déjà tout ce qu’Il demande à l’homme avant qu’Il ne le lui demande. Il n’exigerait jamais des autres ce qu’Il ne serait pas prêt à faire Lui-même, car tel est Son être. Indépendamment de la façon dont Il accomplit Son travail, Il n’agirait pas d’une manière qui désobéisse à Dieu. Quoi que ce soit qu’Il demande à l’homme, aucune demande ne va au-delà de ce qui est réalisable par l’homme. Tout ce qu’Il fait c’est d’accomplir la volonté de Dieu et c’est pour le bien de Sa gestion. La divinité du Christ est au-dessus de tous les hommes, par conséquent, Il est la plus haute autorité de tous les êtres créés. Cette autorité est Sa divinité, c’est-à-dire, le tempérament et l’être de Dieu Lui-même, Son tempérament et Son être déterminent Son identité. Par conséquent, peu importe la normalité de Son humanité, il est indéniable qu’Il a l’identité de Dieu Lui-même ; peu importe Ses points de vue et quelle que soit la façon dont Il obéit à la volonté de Dieu, on ne peut pas dire qu’Il n’est pas Dieu Lui-même. Des hommes stupides et ignorants considèrent souvent l’humanité normale du Christ comme une imperfection. Quelle que soit la façon dont Il exprime et expose l’être de Sa divinité, l’homme est incapable de reconnaître qu’Il est le Christ. Et plus ce Christ démontre Son obéissance et Son humilité, les idiots Le considèrent avec plus de légèreté. Il y en a même qui adoptent envers Lui une attitude d’exclusion et de mépris, mais placent ces « grands hommes » aux images sublimes sur le trône pour être adorés. La résistance et la désobéissance de l’homme envers Dieu proviennent du fait que l’essence de Dieu incarné se soumet à la volonté de Dieu, ainsi qu’à l’humanité normale du Christ ; en cela se trouve la source de la résistance et de la désobéissance de l’homme envers Dieu. Si le Christ n’avait ni l’apparence de Son humanité, ni cherché la volonté de Dieu le Père dans la perspective d’un être créé, mais était plutôt doté d’une super humanité, alors l’homme n’aurait probablement pas désobéi à Dieu. La raison pour laquelle l’homme est toujours prêt à croire en un Dieu invisible dans le ciel tient au fait que le Dieu dans le ciel n’a aucune humanité et Il ne possède aucun attribut d’un être créé. Ainsi, l’homme Le considère toujours avec la plus grande estime, pendant qu’il affiche une attitude de mépris envers le Christ.

    Bien que sur la terre le Christ soit capable de travailler au nom de Dieu Lui-même, Il ne vient pas avec l’intention de montrer Son image de chair à tous les hommes. Il ne vient pas pour que tous les hommes Le voient ; Il vient pour permettre à l’homme d’être dirigé par Sa main, entrant par-là même dans la nouvelle ère. La fonction de la chair du Christ vise l’œuvre de Dieu Lui-même, c’est-à-dire, le travail de Dieu dans la chair, et non à permettre à l’homme de bien comprendre l’essence de Sa chair. Quelle que soit la façon dont Il opère, elle n’excède pas celle qui est accessible à la chair. Quelle que soit la façon dont Il opère, Il le fait ainsi dans la chair avec une humanité normale, et ne révèle pas entièrement à l’homme le vrai visage de Dieu. De plus, Son travail dans la chair n’est jamais aussi surnaturel ou inestimable que l’homme le pense. Bien que le Christ représente Dieu Lui-même dans la chair et accomplit en personne le travail que Dieu Lui-même doit faire, Il ne nie pas l’existence de Dieu dans le ciel, et Il ne proclame pas non plus fébrilement Ses propres actions. Au contraire, Il reste caché humblement dans Sa chair. En dehors du Christ, ceux qui prétendent faussement être le Christ ne possèdent pas Ses qualités. Lorsque son tempérament est mise à côté du tempérament arrogant et auto-exaltante de ces faux Christs, on comprend aisément de quelle chair le Christ est réellement constitué. Plus ils sont faux, plus ces faux Christs se font voir, et plus ils sont capables de signes et de miracles pour tromper l’homme. Les faux Christs ne possèdent pas les qualités de Dieu ; Christ n’est entaché d’aucun élément appartenant à de faux Christs. Dieu devient chair juste pour accomplir le travail de la chair, non pas simplement pour que tous les hommes puissent Le voir. Au contraire, Il laisse que Son travail affirme Son identité, et permet que ce qu’Il expose atteste de Son essence. Son essence n’est pas sans fondement ; Son identité n’a pas été saisie par Sa main ; elle est déterminée par Son œuvre et Son essence. Bien qu’Il ait l’essence de Dieu Lui-même et soit capable de faire le travail de Dieu Lui-même, Il est encore, après tout, la chair à la différence de l’Esprit. Il n’est pas Dieu avec les qualités de l’Esprit ; Il est Dieu avec la coque de la chair. Par conséquent, peu importe Sa normalité et Sa faiblesse, et quelle que soit la manière dont Il cherche la volonté de Dieu le Père, Sa divinité est indéniable. En Dieu incarné il existe non seulement une humanité normale et Ses faiblesses ; il existe encore plus la magnificence et le caractère insondable de Sa divinité, ainsi que tous Ses actes dans la chair. Par conséquent, aussi bien l’humanité que la divinité existent réellement et pratiquement en Christ. Ceci n’est pas pour le moins creux ou surnaturel. Il vient sur terre avec pour objectif principal d’effectuer un travail ; il est impératif d’être doté d’une humanité normale pour effectuer un travail sur la terre ; sinon, quelle que soit la puissance de Sa divinité, sa fonction d’origine ne peut pas être utilisée à bon escient. Bien que Son humanité soit d’une grande importance, elle n’est pas Son essence. Son essence est la divinité ; par conséquent, le moment où Il commence à exercer Son ministère sur la terre est le moment où Il commence à exprimer l’être de Sa divinité. Son humanité vise uniquement à sustenter la vie normale de Sa chair de telle sorte que Sa divinité puisse effectuer le travail tel qu’il est effectué dans la chair ; c’est la divinité qui dirige Son œuvre entièrement. Quand Il achève Son travail, Il aura accompli Son ministère. Ce que l’homme devrait connaître c’est l’entièreté de Son œuvre, et c’est par Son travail qu’Il donne à l’homme l’occasion de Le connaître. Pendant qu’Il effectue Son travail, Il exprime tout à fait pleinement l’être de Sa divinité, qui n’est pas un tempérament terni par l’humanité, ou un être contaminé par la pensée et le comportement humain. Lorsque vient le moment où tout Son ministère arrive à son terme, Il aura déjà parfaitement et pleinement exprimé le tempérament qu’Il Se devait d’exprimer. Son travail n’est dicté par aucun homme ; l’expression de Son tempérament est également tout à fait libre, elle n’est pas contrôlée par l’esprit ou transformée par la pensée, mais elle se révèle naturellement. Ceci ne peut être réalisé par aucun homme. Même si l’environnement n’est pas propice ou si les conditions ne le permettent pas, Il est capable d’exprimer Son tempérament au moment opportun. Celui qui est Christ exprime l’être du Christ, tandis que ceux qui ne le sont pas n’ont pas le tempérament du Christ. Par conséquent, même si tous Lui résistent ou ont des notions sur Lui, nul ne peut nier sur la base des notions de l’homme que le tempérament exprimé par le Christ est celui de Dieu. Tous ceux qui suivent Christ avec un cœur sincère ou cherchent Dieu de façon délibérée admettront qu’Il est le Christ sur la base de l’expression de Sa divinité. Ils ne renieraient jamais le Christ sur la base d’un quelconque aspect de Lui qui n’est pas conforme aux idées de l’homme. Bien que les hommes soient très stupides, tous savent exactement quelle est la volonté de l’homme et ce qui provient de Dieu. C’est simplement que bon nombre résistent intentionnellement au Christ à cause de leurs propres intentions. Si ce n’était pas le cas, pas un seul homme ne serait fondé à nier l’existence du Christ, car la divinité exprimée par le Christ existe bel et bien, et Son travail peut être visible à l’œil nu.

    Le travail et l’expression du Christ déterminent Son essence. Il est capable d’achever avec un cœur sincère ce qui Lui a été confié. Il est capable d’adorer Dieu dans le ciel avec un cœur sincère, et avec ce même cœur sincère chercher la volonté de Dieu le Père. Tout cela est déterminé par Son essence. Et de même que Sa révélation naturelle est déterminée par Son essence, la raison pour laquelle Sa révélation naturelle est ainsi appelée tient à Son expression qui n’est ni une imitation, ni le résultat de l’éducation par l’homme, encore moins le résultat de nombreuses années de formation par l’homme. Il ne l’a pas apprise ou Il ne S’en est pas paré ; au contraire, elle Lui est consubstantielle. L’homme pourrait renier Son travail, Son expression, Son humanité et toute la vie de Son humanité normale, mais nul ne peut refuser d’admettre qu’Il adore Dieu dans le ciel avec un cœur sincère ; nul ne peut refuser d’admettre qu’Il est venu pour accomplir la volonté du Père céleste, et nul ne peut refuser d’admettre la sincérité avec laquelle Il cherche Dieu le Père. Bien que Son image ne soit pas agréable à voir, Son discours n’ait pas un air extraordinaire, et Son travail ne fasse pas remuer terre et ciel tel que l’homme l’imagine, Il est en fait le Christ, qui accomplit la volonté du Père céleste avec un cœur sincère, totalement soumis au Père céleste, et obéissant jusqu’à la mort. Ceci se justifie par Son essence qui est l’essence du Christ. Il est difficile pour l’homme de croire à cette vérité, pourtant elle existe. Lorsque le ministère du Christ aura été complètement accompli, l’homme sera en mesure de réaliser, à partir de Son travail, que Son tempérament et Son être représentent le tempérament et l’être de Dieu dans le ciel. A ce moment, toute Son œuvre peut témoigner de ce qu’Il est en effet la chair que le Parole devient, et qui ne ressemble pas à celle d’un homme fait de chair et de sang,

    Extrait de « L’essence du Christ est l’obéissance à la volonté du Père céleste », La Parole apparaît dans la chair

   Il fournit des efforts inlassables pour nous, perd le sommeil et l’appétit pour nous, pleure pour nous, soupire pour nous, gémit dans la maladie pour nous, subit des humiliations pour notre destination et notre salut, et Son cœur saigne et répand des larmes pour notre torpeur et notre rébellion. Un tel être et tout ce qu’Il possède sont des attributs qui vont au-delà de ceux d’une personne ordinaire, et ne peuvent pas être possédés ou acquis par aucune personne corrompue. Il a la tolérance et la patience à nulles autre pareilles, et aucun être créé ne peut avoir un amour comme le Sien. Personne en dehors de Lui ne peut connaître toutes nos pensées, avoir une telle compréhension de notre nature et de notre essence, juger la rébellion et la corruption de l’humanité, nous parler et travailler parmi nous comme de la part du Dieu du ciel. Personne, sauf Lui ne peut avoir l’autorité, la sagesse et la dignité de Dieu ; le tempérament de Dieu et ce qu’Il a et est sont mis en avant par Lui, dans leur intégralité. Personne en dehors de Lui ne peut nous montrer le chemin et nous apporter la lumière. Personne en dehors de Lui ne peut révéler les mystères que Dieu n’a pas dévoilés depuis la création jusqu’à ce jour. Personne en dehors de Lui ne peut nous sauver de l’esclavage de Satan et de nos tempéraments corrompus. Il représente Dieu, et exprime la voix du cœur de Dieu, les exhortations de Dieu, et les paroles de jugement de Dieu envers toute l’humanité. Il a inauguré un nouvel âge, une nouvelle ère, et a apporté un nouveau ciel et une nouvelle terre, une nouvelle œuvre, et Il nous a apporté de l’espérance, et a mis fin à la vie que nous menions dans le vague, et nous a permis de voir parfaitement le chemin du salut. Il a conquis tout notre être, et a gagné nos cœurs. Dès lors, nos esprits et cœurs deviennent conscients et semblent être ravivés : cette personne ordinaire, insignifiante, qui vit parmi nous et a longtemps été rejetée par nous — n’est-ce pas le Seigneur Jésus, qui est à jamais dans nos pensées, et qui nous manque terriblement jour et nuit ? C’est Lui ! C’est réellement Lui ! Il est notre Dieu ! Il est la vérité, le chemin et la vie !

    Extrait de « Voir l’apparition de Dieu dans Son jugement et Son châtiment », La Parole apparaît dans la chair

  Quels que soient l’ère ou le lieu dans lequel Dieu est incarné, les principes de Son travail dans la chair restent immuables. Il ne peut pas devenir chair et aussi transcender la chair pour travailler ; de plus, Il ne peut pas devenir chair sans travailler au sein de l’humanité normale de la chair. Autrement, la signification de l’incarnation de Dieu se dissoudrait dans le néant et la Parole devenue chair n’aurait plus aucun sens. En outre, seul le Père dans le ciel (l’Esprit) est au courant de l’incarnation de Dieu, et personne d’autre, pas même Lui-même dans la chair ou les messagers du ciel. Ainsi, l’œuvre de Dieu dans la chair est encore plus normale et mieux en mesure de démontrer qu’en effet la Parole devient chair ; la chair signifie un homme ordinaire et normal.

    Extrait de « Le mystère de l’incarnation (1) », La Parole apparaît dans la chair

  Cette chair est homme et Dieu en même temps. Elle est de l’homme car elle possède une humanité normale, et aussi de Dieu car elle possède la pleine divinité. Et donc, même si cette chair n’est pas l’Esprit de Dieu et diffère grandement de l’Esprit, c’est quand même le Dieu incarné Lui-même qui sauve l’homme, le Dieu qui est Esprit et chair. Peu importe le nom qu’on Lui donne, en fin de compte, c’est toujours Dieu Lui-même qui sauve l’humanité. Car l’Esprit de Dieu est indivisible de la chair et le travail de la chair est aussi l’œuvre de l’Esprit de Dieu ; seulement, ce travail ne se fait pas en utilisant l’identité de l’Esprit, mais en utilisant l’identité de la chair.

    Extrait de « L’humanité corrompue a encore plus besoin du salut de Dieu fait chair », La Parole apparaît dans la chair

  Que comprennent les expressions de l’Esprit ? Parfois le Dieu concret œuvre dans l’humanité et parfois dans la divinité, mais dans l’ensemble, dans les deux cas, l’Esprit dirige. […] Le Dieu concret Lui-même dont on parle aujourd’hui œuvre à la fois dans l’humanité et la divinité. Son œuvre normale, Sa vie humaine normale et Son œuvre complètement divine sont réalisées par l’apparition du Dieu concret. Son humanité et Sa divinité sont réunies et l’œuvre des deux est[a] accomplie par des paroles ; que ce soit dans l’humanité ou la divinité, Il prononce des paroles. Quand Dieu œuvre dans l’humanité, Il parle la langue de l’humanité afin que les gens s’engagent et comprennent. Ses paroles sont prononcées clairement et sont faciles à comprendre, de sorte qu’elles peuvent être offertes à tous les gens ; peu importe que ces gens possèdent des connaissances ou non, qu’ils soient instruits ou non, tous peuvent recevoir les paroles de Dieu. L’œuvre de Dieu dans la divinité est également réalisée par des paroles, mais elle est pleine de soutien, elle est pleine de vie, elle n’est pas corrompue par une idée humaine, elle ne comporte pas de préférences humaines ni de limites humaines, elle est en dehors des limites de toute humanité normale ; elle est aussi réalisée dans la chair, mais elle est l’expression directe de l’Esprit. […] L’apparition de Dieu dans la chair signifie que toute l’œuvre et toutes les paroles de l’Esprit de Dieu sont accomplies par Son humanité normale et par Sa chair incarnée. En d’autres termes, l’Esprit de Dieu dirige Son œuvre humaine et réalise l’œuvre de la divinité dans la chair. En Dieu incarné, tu peux voir l’œuvre de Dieu dans l’humanité et dans l’œuvre tout à fait divine ; c’est la signification réelle de l’apparition du Dieu concret dans la chair. Si tu peux voir cela clairement, tu seras en mesure de relier toutes les différentes parties de Dieu et tu cesseras d’accorder trop d’importance à Son œuvre dans la divinité et de négliger Son œuvre dans l’humanité. Tu ne prendras pas de mesures extrêmes ni de détours. Dans l’ensemble, Dieu concret signifie que l’œuvre de Son humanité et de Sa divinité, dirigée par l’Esprit, est exprimée par Sa chair, de sorte que les gens peuvent voir qu’Il est vivant et réaliste, réel et vrai.

    Extrait de « Tu devrais savoir que le Dieu concret est Dieu Lui-même », La Parole apparaît dans la chair

  Note de bas de page :

  [a] Le texte original dit : « et les deux sont ».

    Source : L’Église de Dieu Tout-Puissant

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