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Dieu est ma force
11 mai 2018

Chapitre 21 La vraie foi en Dieu ne se confirme que par la recherche de la vérité

 Si tu n’as aucune expérience de quelque chose, alors c’est garanti que tu ne sauras pas comment le gérer et que tu le géreras médiocrement. Même si tu le gérais et que tu pensais : « J’ai suffisamment expliqué tout cela et j’ai beaucoup dit à ce sujet. Ils ont aussi beaucoup écouté ce sujet. J’ai tellement parlé à ce sujet. Je pense que tout ce que j’ai échangé sur cette question est essentiellement la vérité, pas vrai ? » Mais en fait, tout n’est que de la doctrine et tu te sers de la doctrine pour résoudre le problème. Pourquoi dire que c’est de la doctrine ? Tout ce que tu dis est correct, mais ce que tu dis n’est pas dirigé contre le problème et ça n’attaque pas la racine de ce problème — où ce problème se situe, le trouble qui l’accompagne, pourquoi ces gens peuvent faire de telles choses ou quelles conditions ont surgi en eux. Si tu n’es pas capable de déterrer ces choses, alors tu ne peux alors pas résoudre le problème ; tu dois excaver la source du problème. Tout comme lorsque les gens ont parfois mal à l’estomac. Il existe plusieurs types de maux d’estomac : certains souffrent de maux d’estomac parce qu’ils ont pris froid, d’autres parce qu’ils ont consommé un aliment froid, d’autres encore parce qu’ils ont une certaine inflammation et d’autres enfin à cause des crampes. Ça ne marchera pas si tu n’es pas capable de clairement distinguer l’un de l’autre. Si tu leur prescris tous des analgésiques, la peine peut s’arrêter pour certains pendant quelque temps seulement, et pour d’autres les analgésiques n’agiront généralement pas du tout. Conduire les gens est donc comme un médecin qui soigne un patient. Il te faut bien comprendre où se situe la racine de la maladie. Si tu ne saisis pas la racine ou la condition, ou ne découvres pas où la faute se situe ou ce qu’est le problème, ou quelles choses les gens révèlent quand ils parlent, tu ne seras donc pas en mesure de résoudre le problème. Tu penses que tout ce que tu dis est la vérité, alors qu’en toute réalité c’est simplement de la doctrine et ce n’est qu’un traitement superficiel. Par exemple, certaines personnes qui te sont subalternes commettent des erreurs dans leurs devoirs, tu leur prêches donc de cette manière : « En accomplissant notre devoir, nous devons être fidèles. En accomplissant notre devoir, nous devons assumer la responsabilité pour Dieu. L’accomplissement de notre devoir est une obligation que nous devrions réaliser. Nous ne devons pas être négligents dans notre devoir ! » Tu prêches toujours à ce sujet. En toute réalité, ils comprennent tout sur l’exercice de leur devoir, ils savent qu’ils ne devraient pas être négligents au travail, et ils savent comment bien accomplir leur devoir. Mais ils ne le font pas bien, donc tu dois clairement discerner quelles situations prévalent ici. Il est possible qu’ils manquent de qualité de telle sorte qu’ils font médiocrement les choses, ou qu’ils soient stupides et ne soient pas capables d’être rendus parfaits, que peu importe comment tu leur enseignes, ils ne peuvent toujours pas le faire correctement, et ça c’est un type de situation. Un autre type de situation est qu’ils sont peut-être attachés à leur famille. Un autre est qu’ils sont peut-être embrigadés dans des problèmes à leur emploi ou dans leur mariage. Un autre encore est qu’ils ont des soucis en têtes tels que : « Si je suis renvoyé parce que je n’arrive pas à des résultats probants dans mon devoir, que vais-je faire ? » Il y a plusieurs types de situations, par conséquent, que tu dises ces quelques paroles n’est que de peu d’utilité. « Nous ne devons pas être négligents au travail, nous devons être fidèles à Dieu. Nos intentions intérieures devraient être correctes, nous ne devons pas être difficiles quant aux conditions dans lesquelles nous exerçons notre devoir et nous devrions obéir à Dieu sans égard à la manière dont Il nous traite ! » Il ne sert à rien de prêcher comme ça ! Tu prêches aussi le point de vue de la foi en Dieu en disant : « Pourquoi accomplissons-nous nos devoirs ? » Cela est encore moins utile et tu ne peux pas l’appliquer à différentes situations sans discrimination. Pour ceux d’entre vous qui ont maintenant une connaissance littérale et comprennent une certaine doctrine, qui se confrontent à des problèmes au quotidien, dès que vous les confrontez, vous pensez : « À quel problème cela se rapporte-t-il ? Oh, il y a de nos jours tant de questions dans l’accomplissement des devoirs et dans la propagation de l’Évangile, échangeons alors au sujet de l’accomplissement du devoir ! » Et, fonçant un peu plus profondément : « Échangeons sur le point de vue de la foi en Dieu ! » Après que tu as prêché cela, ils se retirent. Mais par la suite, ils continuent à faire les mêmes fautes. En fait, cela n’a en principe été d’aucune utilité, parce que tu as échangé sans avoir cerné la racine du problème. Auparavant, certains qui n’avaient aucune oreille musicale, qui chantaient très mal, ont dit : « Pourquoi ne puis-je pas chanter ? » Par la suite, les gens leur ont demandé : « Quel genre de problème est-ce ? » « Il s’agit d’un manque de calibre ! », ont-ils dit. Comment est-ce un manque de calibre ? C’était que le gène du chant n’était pas inhérent en eux. Tu ne peux pas dire que c’était dû à un manque de calibre. Ai-je raison ? Leur manque d’oreille musicale était inhérent et ne pourrait jamais changer. Finalement, ils ont conclu que c’était dû à « un manque de calibre », mais n’était-ce pas une erreur ? N’est-ce pas ? Ce n’est pas juste d’additionner deux et deux aveuglément. Pour ceux d’entre vous qui sont maintenant dotés d’une certaine doctrine et connaissance littérale, vous ne savez toujours pas où appliquer ces paroles ni où elles peuvent être utilisées, ainsi finalement vous êtes incapables de résoudre aucun problème. Finalement, quand on vous demande d’user la vérité pour résoudre des problèmes, vous vous demandez : « Ah, j’ai beaucoup de vérité, comment se fait-il alors que je sois incapable de résoudre ces problèmes ? Pourquoi est-ce que je ressens une certaine appréhension dès que je rencontre un problème ? » Cela prouve que tu ne comprends toujours pas la vérité et que tu n’as pas compris la vérité. Certaines personnes disent : « Ah, j’ai un haut niveau de connaissances. J’ai suivi des cours à l’université pendant plusieurs années, je comprends donc beaucoup de choses sur la philosophie, la politique et le droit, j’ai un esprit vif en matière de langue. J’ai beaucoup lu la parole de Dieu et je l’ai beaucoup mémorisée. Mais après que j’ai fini de résoudre des problèmes, pourquoi dit-on que j’ai usé de la doctrine pour les résoudre, et non la vérité ? » Quel est le problème ici ? Tu ne comprends absolument pas la vérité ; tu ne comprends pas ce que l’on entend par « la vérité. »

 Ceux qui croient en Dieu peuvent tous parler des doctrines, disant que nos vues sur la foi en Dieu doivent être toutes pures, que nous devrions obéir à Dieu, aimer Dieu, et accomplir loyalement nos devoirs, que nous ne devons pas nous rebeller contre Dieu et que nous devons nous comprendre. Bien qu’ils aient souvent parlé de ces choses, ils ne les comprennent pas. Il n’y a toujours pas de compréhension réelle derrière ces vérités. Ta compréhension des paroles n’est que superficielle, tu n’as pas le sens spirituel ou le contenu profond des paroles. Par conséquent, vous n’avez aucune vérité dans vos cœurs. Vous pouvez avoir un peu de compréhension, mais elle est trop simpliste. Pour ces vétérans de l’Église qui ont quelques expériences, ils comprennent dans leurs cœurs un peu sur certaines choses superficielles, mais ils ne sont pas capables d’exprimer ou d’appliquer leur compréhension. Pour ceux qui sont nouveaux dans l’Église, ils ne peuvent que parler des doctrines et ils prêchent l’Évangile pour gagner des gens, mais ils ne comprennent pas du tout la vérité. Ceux d’entre vous qui sont éduqués et cultivés également ne comprennent pas la vérité ; ne considère pas ta compréhension de doctrines ou de significations littérales comme une compréhension de la vérité. Certains vétérans de l’Église, qui sont de bon calibre et qui comprennent relativement bien l’esprit, peuvent avoir un peu d’expérience de la vérité, mais ils ne peuvent toujours pas dire qu’ils la comprennent. Lorsque tu parles de compréhension, il n’y a peut-être que deux de dix phrases que tu prononces qui peuvent contenir une vraie compréhension. Le reste de ce que tu dis est doctrinal, mais tu sens que tu peux le faire — tu peux prêcher constamment un ou plusieurs jours partout où tu vas, ayant toujours quelque chose à dire et sans arrêt. Une fois que tu as fini, tu veux les arranger dans un livre, copier et distribuer cela, pour faire une « biographie de célébrité » qui, une fois publiée, permettrait aux gens de manger et de boire ces paroles et qui profiterait à tous. Les gens ne peuvent pas saisir du tout la vérité, tout au plus la compréhension du sens littéral. Lorsqu’ils se sont équipés jusqu’à un certain point, parce qu’ils sont intelligents et ont une bonne mémoire, parce que souvent ils vont et parlent partout de l’œuvre de Dieu, du sens de l’incarnation, du mystère de l’incarnation, et des méthodes et des phases de l’œuvre de Dieu, ils sentent qu’ils sont eux-mêmes en possession de la vérité, qu’ils l’ont en abondance. C’est si insensé ! Cela prouve qu’aucun d’entre eux ne comprend la vérité. Maintenant les gens comprennent certaines doctrines, ils ne se comprennent pas eux-mêmes, ont encore moins de sens. En comprenant certaines doctrines, ils sentent qu’ils sont en possession de la vérité, qu’ils ne sont pas si insignifiants, et ils gardent la tête haute, pensant : « J’ai lu plusieurs fois la parole de Dieu. Je me souviens avec précision de certaines paroles et les ai gravées sur mon cœur. Où que j’aille, si je me mets à parler, je suis en mesure de continuer pendant des jours, et je suis capable de parler systématiquement et profondément sur n’importe quel passage des paroles de Dieu. » En toute réalité, tu ne comprends rien. Pourquoi dit-on que tu ne comprends pas ? Un aspect en est que vous êtes incapables de résoudre les problèmes, vous ne pouvez pas trouver leur source, ni discerner leur essence. Un autre aspect en est que, quel que soit le problème ou la question, la connaissance que vous en avez n’est qu’incomplète et peu concluante, et par conséquent ne se rapproche de la vérité.

 Quant à la vue de la foi en Dieu des gens — comment les gens croient en Dieu, que peut-on appeler « foi », quel genre de personne peut être appelée « un croyant », quel genre de personne a Dieu dans son cœur, comment expliquer les mots « foi en Dieu », comment comprendre cette vérité, quel genre d’attitude montre que la vue de quelqu’un de sa foi en Dieu est correcte, quel genre d’attitude montre que le point de vue de quelqu’un sur la foi en Dieu est incorrect, et comment les gens devraient-ils croire en Dieu — n’avez-vous jamais considéré ces choses ? Vous semblez tous être les « géants » de la vérité, mais que peut-on appeler « foi » ? Avez-vous déjà considéré cela ? Quelles sont les choses dans ta vie quotidienne qui reflètent l’incrédulité, quels signes manifestent ces croyants qui possèdent la foi réelle, quels signes manifestent ceux qui ne croient pas en vérité, et parmi les choses que tu rencontres dans ta vie quotidienne, lesquelles d’entre elles ont à faire avec la foi en Dieu et lesquelles d’entre elles n’ont rien à faire avec la foi en Dieu — pouvez-vous parler de ces choses clairement ? Comprends-tu réellement la signification de la foi en Dieu ? Comprends-tu quel genre de personne a une foi réelle, ou quel genre de personne est un véritable croyant ? Tous les êtres créés croient en Dieu — comprends-tu ce que cela signifie ? Cela concerne des vues sur la foi en Dieu. Certaines personnes disent : « Ah ! La foi en Dieu est une bonne chose et c’est la bonne voie. La foi en Dieu est mieux que n’importe quelle affaire ou carrière. La foi en Dieu est la plus grandiose des choses dans la vie de l’homme. Accomplir son devoir pour Dieu tout en croyant en Dieu est une expression pratique. La foi en Dieu vise le salut et la satisfaction de Sa volonté. » Vous avez tous dit ces choses auparavant, n’est-ce pas ? Comprenez-vous réellement ces paroles ? Non, tu ne les as pas réellement comprises. Une vraie foi en Dieu ne signifie pas de croire en Lui pour être sauvé et même moins d’être une bonne personne. Ce n’est pas non plus de croire en Dieu pour avoir une ressemblance humaine. En fait, les gens ne devraient pas percevoir leur foi en Dieu comme simplement de croire qu’il y a un Dieu, et puis c’est tout ; cela ne signifie pas que tu devrais simplement croire que Dieu est la vérité, le chemin, la vie, et puis c’est tout. Ce n’est pas non plus de simplement reconnaître Dieu, beaucoup moins de simplement de croire que Dieu est le Souverain régnant sur toutes choses, que Dieu est tout puissant, que Dieu a créé toutes les choses dans le monde, que Dieu est unique et que Dieu est suprême. C’est plutôt pour que toi — ton être entier et ton cœur entier — tu suives Dieu, tu permettes à Dieu de t’utiliser, tu permettes à Dieu de t’utiliser à Son service, et que tu fasses tout pour Dieu. Cela ne veut pas dire que Dieu ordonne d’avance et choisit ces gens pour qu’ils croient en Lui. En fait, toute l’humanité devrait adorer Dieu, Lui prêter oreilles et Lui obéir, parce que l’humanité a été créée par Dieu. Cela touche dès lors à la question d’essence. Si tu parles toujours des raisons pour lesquelles tu crois en Dieu, en disant que tu crois en Dieu afin de gagner la vie éternelle ou afin d’être sauvé, alors ta foi en Dieu est pareille à un genre de sujet périphérique, croyant simplement en vue de gagner quelque chose — ce n’est pas la vue que tu devrais avoir de ta foi en Dieu. Au regard de chacune des vérités, les gens devraient chercher, essayer de comprendre et d’examiner ce qu’est la vérité, comment pratiquer cet aspect de la vérité, et comment y entrer — ce sont ces choses que les gens devraient posséder. Dans tous les aspects de la vérité que vous devriez maintenant posséder, vous n’en comprenez que la doctrine superficielle, l’aspect extérieur, et vous ne comprenez pas l’essence de la vérité, puisque vous n’en avez pas fait l’expérience. Par exemple : combien de vérité est contenue dans l’aspect de la réalisation de son devoir ? L’amour de l’homme pour Dieu ne contient-il pas beaucoup de vérité dans son fond ? Pour se connaître eux-mêmes, les hommes doivent comprendre beaucoup de vérité. Il y a beaucoup de vérité sur le sens et le mystère de l’incarnation qui doit également être compris. Il y a beaucoup de vérité contenue dans les questions telles que la manière dont les gens devraient adorer Dieu, la manière dont ils devraient vivre en tant qu’humains, la manière dont ils devraient obéir à Dieu, ce qu’ils devraient faire pour se conformer à la volonté de Dieu et la manière dont ils devraient servir Dieu. Comment considérez-vous ou essayez-vous de comprendre les questions de tous ces aspects de la vérité ? Il y a une vérité qui est particulièrement profonde dans chacun des aspects et ils exigent que les gens en fassent l’expérience. Si tu n’en fais pas l’expérience et ne grattes que la surface des paroles, sans les comprendre ni les expérimenter dans leurs profondeurs, tu vivras à jamais à la surface des paroles et seras incapable de changement.

 Lorsque les gens ordinaires font des commentaires sur vous qui êtes des conducteurs dans l’Église, vous dites : « Peuh, qu’est-ce qui te qualifie pour faire des commentaires sur moi ? Combien de sermons peux-tu livrer ? Combien de paroles peux-tu dire ? Combien de gens peux-tu conduire ? Qu’es-tu capable de faire ? » C’est comme si vous étiez qualifiés. Si vous vous comportez de cette manière, vous aurez des problèmes ; vous pourrez rendre service pendant un temps et puis vous déraperez. En ce qui vous concerne tous, s’il vous est confié des églises dans une zone ou un district et personne ne vous supervise pendant six mois, vous commencez à dévier. Si personne ne te supervise pendant une année, tu les détournes et les induis en erreur. Deux ans passent et il n’y a toujours personne qui te supervise, et tu amènes ces gens devant toi. Pourquoi cela ? N’avez-vous jamais considéré cette question auparavant ? Dites-moi, pourriez-vous être comme cela ? Votre connaissance ne peut soutenir les gens que pendant un certain temps. Au fur et à mesure que le temps passe, si tu continues à dire la même chose, certaines personnes pourront discerner ; elles diront que tu es trop superficiel, que tu manques de profondeur. Tu n’auras pas d’autre choix que d’essayer de tromper le peuple en parlant de doctrines. Si tu continues toujours de cette manière, ceux qui sont sous ta responsabilité suivront tes méthodes, tes procédures et tes modèles pour croire en Dieu et faire l’expérience, et ils mettront ces paroles et ces doctrines en pratique et, au bout du compte, puisque tu t’exprimes de cette manière, ils te prendront pour modèle. Tu amènes les gens à parler de doctrines, et ceux qui sont sous toi apprendront des doctrines de toi, et à mesure que les choses progressent, tu auras pris la mauvaise voie. Tous ceux qui sont sous ta responsabilité suivent ton chemin et tous apprennent de toi et te suivent. Ainsi tu sens : je suis puissant maintenant ; tant des gens m’écoutent, et le monde est ma merci. Cette trahison dans l’homme te fait inconsciemment changer Dieu en un simple figurant, et tu formes toi-même alors une certaine dénomination, une certaine confession. Comment naissent les dénominations et les confessions ? Elles naissent de cette manière. Regarde les dirigeants de chaque confession religieuse. Ils sont tous arrogants et suffisants, et ils interprètent la Bible hors de son contexte et selon leur propre imagination. Ils comptent tous sur les dons et l’érudition pour accomplir leur travail. S’ils étaient incapables de prêcher quelque chose, ces gens les suivraient-ils ? Ils possèdent tout de même une certaine connaissance, ils peuvent parler un peu de doctrine, savent comment convaincre les autres et comment utiliser des artifices par lesquels ils ont attiré les gens devant eux et les ont trompés. Théoriquement, ces gens croient en Dieu, mais, en réalité, ils suivent leurs dirigeants. S’ils rencontrent ceux qui prêchent le vrai chemin, certains d’entre eux diraient : « Nous devons consulter notre dirigeant au sujet de notre croyance en Dieu. » Ils cherchent le consentement de quelqu’un pour croire en Dieu ; n’est-ce pas un problème ? Que deviennent donc ces dirigeants ? Ne sont-ils pas devenus des pharisiens, des faux pasteurs ; des antéchrists, et des pierres d’achoppement qui empêchent le peuple d’accepter la véritable voie ? Ce genre de gens appartient à la même espèce que Paul. Pourquoi dire cela ? Les épîtres écrites par Paul datent presque de deux mille ans et elles couvrent l’ensemble de l’ère de la Grâce. Les gens ont tous mangé et bu ses paroles et ont pris ses paroles comme la norme, telles que la souffrance, la discipline de son propre corps, et la couronne finale de justice. Les gens ont cru en Dieu suivant ses paroles et ses doctrines. Combien de la volonté de Dieu les gens pourraient-ils comprendre durant l’ère de la Grâce ? Après tout, ceux qui suivirent Jésus en ce temps-là étaient minoritaires, et ceux qui Le connurent étaient même moins nombreux — voire même plusieurs de Ses disciples ne Le connurent pas réellement. On ne peut pas dire qu’une petite lumière qu’un homme voit dans les pages de la Bible représente la volonté de Dieu. On peut encore beaucoup moins dire qu’un peu d’éclairage signifie une compréhension de Dieu. Les gens sont arrogants et vaniteux et ils ne gardent pas Dieu dans leur cœur. Avec un peu de compréhension doctrinale, ils s’organisent et forment plusieurs dénominations. Heureusement, c’était l’ère de la Grâce et Dieu n’était pas strict avec l’homme ; toutes les dénominations et confessions au nom de Jésus ont de l’œuvre du Saint-Esprit, et tout était opéré par le Saint-Esprit, à l’exception des occasions où l’œuvre des mauvais esprits était manifestée, ainsi la majorité des gens jouissaient encore de la grâce de Dieu.

 Peu importe que tu aies précédemment suivi quelqu’un d’autre ou que tu n’aies pas satisfait la volonté de Dieu, tu dois venir devant Dieu à cette étape. Si à cette étape tu continues de suivre quelqu’un en te basant sur l’expérience de cette étape de l’œuvre, tu seras alors considéré comme impardonnable et tu finiras justement comme Paul. Dès le départ, J’ai utilisé Paul et Pierre en exemples. Pourquoi ? Il s’agit de deux voies distinctes. Si quelqu’un ne marche pas sur les traces de Pierre dans sa foi en Dieu, il marche alors sur les traces de Paul. Il n’y a que ces deux voies. Peu importe que tu sois un fidèle subalterne ou un conducteur, c’est tout pareil. Si tu ne t’embarques pas sur la voie de Pierre, tu marches alors dans la voie de Paul. C’est inévitable, et une troisième voie n’existe pas. Si les gens ne comprennent pas la volonté de Dieu, ne connaissent pas Dieu, ne cherchent pas à comprendre la vérité et ne peuvent pas obéir à Dieu absolument, finalement alors, ils devront finir de la même manière que Paul. Si tu ne cherches pas à connaître Dieu, ne cherches pas à comprendre la volonté de Dieu, mais ne cherches qu’à parler et à te bourrer de doctrines, alors tu ne peux que défier et trahir Dieu, parce que la nature de l’homme est de défier Dieu. Il est garanti que ces choses qui ne se conforment pas à la vérité proviennent de la volonté de l’homme. On ne peut pas dire qu’elles ne sont toujours pas si mauvaises, bien qu’elles ne soient pas conformes à la vérité. Certains disent : « Bien que ces choses ne soient pas faites selon la vérité, je ne pense toujours pas qu’elles défient Dieu. » Si tu fais quelque chose qui n’est pas selon la vérité, cela est garanti de défier Dieu. Si ce n’est pas fait selon la vérité, c’est donc fait selon les doctrines et selon la volonté de l’homme. Cela découlera de Satan ou de la volonté de l’homme. C’est un défi à Dieu. Ceux qui ne cherchent pas la vérité, bien qu’ils croient en Dieu, sont incapables d’obéir à Dieu et ils ne sont capables que de Le défier.

 Source :  L’Église de Dieu Tout-Puissant

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